Alors, c’est deux moutons crevés que vous m’apportez… Ça va bien qu’il gèle, sans quoi ils ne sentiraient guère bon.
Le site des archives d'Emile Zola
Alors, c’est deux moutons crevés que vous m’apportez… Ça va bien qu’il gèle, sans quoi ils ne sentiraient guère bon.