L’argent ! se récria Maurice, mais tu en as plus besoin que moi, qui ai mes deux jambes ! Avec deux cents francs, j’ai de quoi rentrer à Paris, et pour me faire casser la tête ensuite, ça ne me coûtera rien… Au revoir, tout de même, mon vieux, et merci de ce que tu as fait deraisonnable et de bon, car, sans toi, je serais sûrement resté au bord de quelque champ, comme un chien crevé.