Derrière leur dos, à ce moment, des voix chuchotantes leur firent tourner la tête. C’étaient Chouteau et Loubet, partis le matin, en même temps qu’eux, de la presqu’île d’Iges, et qu’ils avaient évités jusque-là. Maintenant, les deux gaillards marchaient sur leurs talons. Chouteau devait avoir entendu les paroles deMaurice, son plan de fuite au travers d’un taillis, car il le reprenait pour son compte. Il murmurait dans leur cou :