Jean, de nouveau, leva la tête, se tourna vers le couchant. Au travers de l’épaisse poussière que les piedssoulevaient, les rayons de l’astre brûlaient encore les faces en sueur. Il faisait très beau, le ciel était d’un bleu admirable.
Le site des archives d'Emile Zola
Jean, de nouveau, leva la tête, se tourna vers le couchant. Au travers de l’épaisse poussière que les piedssoulevaient, les rayons de l’astre brûlaient encore les faces en sueur. Il faisait très beau, le ciel était d’un bleu admirable.