Quand elle se retrouva dehors, la Maheude coupa résolument par les jardins, pour se rendre chez les Pierron. Des rires s’entendaient. Elle frappa, et il y eut un brusque silence. On mit une grande minute à lui ouvrir.
Le site des archives d'Emile Zola
Quand elle se retrouva dehors, la Maheude coupa résolument par les jardins, pour se rendre chez les Pierron. Des rires s’entendaient. Elle frappa, et il y eut un brusque silence. On mit une grande minute à lui ouvrir.