Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°851)

Partie : Partie 2, chapitre III

Enfin, c'est pour samedi, dit un jour madame Deberle. Ah ! ma chère, je n'en puis plus... N'est-ce pas ? soyez là à deux heures, Jeanne ouvrira le bal avec Lucien.

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