Une page d'amour
Une page d'amour (paragraphe n°851)
Partie : Partie 2, chapitre III
Enfin, c'est pour samedi, dit un jour madame Deberle. Ah ! ma chère, je n'en puis plus... N'est-ce pas ? soyez là à deux heures, Jeanne ouvrira le bal avec Lucien.
Le site des archives d'Emile Zola
Une page d'amour
Une page d'amour (paragraphe n°851)
Partie : Partie 2, chapitre III
Enfin, c'est pour samedi, dit un jour madame Deberle. Ah ! ma chère, je n'en puis plus... N'est-ce pas ? soyez là à deux heures, Jeanne ouvrira le bal avec Lucien.