Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°850)

Partie : Partie 2, chapitre III

Cependant, le temps s'était gâté. Des averses forcèrent ces dames à se réfugier dans le pavillon japonais. Le jardin, avec sa belle propreté, se changeait en lac, et l'on n'osait plus se risquer dans les allées, de peur de les emporter à ses semelles. Lorsqu'un rayon de soleil luisait encore, entre deux nuages, les verdures trempées s'essuyaient, les lilas avaient des perles pendues à chacune de leurs petites fleurs. Sous les ormes, de grosses gouttes tombaient.

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