Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°847)

Partie : Partie 2, chapitre III

Alors, sous ce regard qui lui clouait les paroles aux lèvres, il dut se taire. Un moment encore, il resta là, portant les mains à ses tempes ; puis, comme il étouffait et qu'il craignait de céder à quelque violence, il s'éloigna, pendant qu'elle affectait de reprendre paisiblement son ouvrage.

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