Une page d'amour
Une page d'amour (paragraphe n°685)
Partie : Partie 2, chapitre II
Tout son cœur se soulevait, elle était effrayée elle-même de la violence de son refus. La proposition du prêtre venait de remuer en elle ce coin obscur, où elle évitait de lire ; et, à la douleur qu'elle éprouvait, elle comprenait enfin la gravité de son mal, elle avait l'effarement de pudeur d'une femme qui sent glisser son dernier vêtement.