Une page d'amour
Une page d'amour (paragraphe n°674)
Partie : Partie 2, chapitre II
Certainement, cela est très doux. Vous vous sentez parfaitement heureuse, je le comprends. Seulement, sur cette pente de la solitude et de la rêverie, on ne sait jamais où l'on va... Oh ! je vous connais, vous êtes incapable de mal faire... Mais vous pourriez y perdre tôt ou tard votre tranquillité. Un matin, il ne serait plus temps, la place que vous laissez vide autour de vous et en vous, se trouverait occupée par quelque sentiment douloureux et inavouable.