Une page d'amour
Une page d'amour (paragraphe n°437)
Partie : Partie 1, chapitre IV
Elle s'était assise sur la pelouse, elle regardait sa mère, ses petites mains serrées sur sa poitrine, comme si elle eût elle-même bu tout cet air qui soufflait. Elle manquait d'haleine, elle suivait instinctivement d'une cadence des épaules les longues oscillations de la balançoire. Et elle criait :