Une page d'amour
Une page d'amour (paragraphe n°297)
Partie : Partie 1, chapitre III
Elle s'était soulevée, et, les mains jointes, elle semblait implorer le Ciel avec une ferveur extraordinaire. Hélène la laissa longtemps aller ainsi, et même elle souriait. L'humilité bavarde de la vieille femme finissait par la bercer et l'assoupir d'une façon très douce. Lorsqu'elle partit, elle lui promit un bonnet et une robe, pour le jour où elle se lèverait.