Une page d'amour
Une page d'amour (paragraphe n°1959)
Partie : Partie 4, chapitre IV
Il les serrait dans ses doigts fiévreux. Les bouts roses passaient seulement. Elle haussait les talons, on entendait le léger frôlement des chevilles. Il ouvrait les mains, les regardait quelques secondes, si fins, si délicats, avec leur pouce un peu écarté. La tentation fut trop forte, il les baisa. Puis, comme elle tressaillait :