Une page d'amour
Une page d'amour (paragraphe n°1866)
Partie : Partie 4, chapitre IV
Malignon, qui s'apprêtait à la serrer dans ses bras, d'un geste passionné qu'il avait médité, fut décontenancé et expliqua que le jour était trop laid, que ses fenêtres donnaient sur des terrains vagues. D'ailleurs, il adorait la nuit.