Une page d'amour
Une page d'amour (paragraphe n°1497)
Partie : Partie 3, chapitre V
Mon père, dit-elle, employant pour la première fois ce nom de tendresse et de respect, laissez-moi vivre... C'est la beauté de cette nuit qui m'agite... Vous vous êtes trompé, vous ne sauriez à cette heure me donner de consolation, car vous ne pouvez m'entendre.