Une page d'amour
Une page d'amour (paragraphe n°1412)
Partie : Partie 3, chapitre IV
Et elle eut, sans transition apparente, une de ces effusions qui surprenaient, avec sa nature d'oiseau charmant. Elle se serra contre son mari, levant la tête. Lui, indulgent et tendre, la tint un instant entre ses bras. Ils semblaient avoir oublié qu'ils n'étaient pas seuls.