Une page d'amour
Une page d'amour (paragraphe n°1201)
Partie : Partie 3, chapitre II
Elle le baisait, elle l'étreignait. C'était son aveu, cet aveu si longtemps retardé, qui lui échappait enfin, dans cette crise de son cœur. La mère et l'amante se confondaient, à ce moment délicieux ; elle offrait son amour tout brûlant de sa reconnaissance.