Une page d'amour
Une page d'amour (paragraphe n°1179)
Partie : Partie 3, chapitre II
Il répondit que non, qu'il n'y avait pas de changement. Mais il était très pâle, il demeurait assis, écrasé par son impuissance. Alors, malgré la tension de tout son être, elle s'affaissa sur une chaise, de l'autre côté du lit.