Pot-Bouille

Pot-Bouille (paragraphe n°2136)

Chapitre XII

Alors, entre son père, qui lui poussait le genou, et son amant, qui frottait doucement sa bottine, elle se sentit pleine d'aise. La vie allait être charmante. Et tous se détendaient, goûtaient l'agrément d'une soirée passée en famille, sans dispute. En vérité, ce n'était pas naturel, quelque chose devait leur porter bonheur. Seul, Auguste avait les yeux tirés, envahi par une migraine, qu'il attendait d'ailleurs, à la suite de tant d'émotions. Même, vers neuf heures, il dut aller se coucher.

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