Nana
Nana (paragraphe n°818)
Chapitre IV
Voyons, mon Mimi, sois raisonnable, dit-elle en le prenant dans ses bras, en le baisant avec toutes sortes de câlineries. Il n'y a rien de changé, tu sais que c'esttoujours mon Mimi que j'adore... N'est-ce pas ? il le fallait... Je te jure, ce sera encore plus gentil. Viens demain, nous conviendrons des heures... Vite, embrasse-moi comme tu m'aimes... Oh ! plus fort, plus fort que ça !