Nana

Nana (paragraphe n°769)

Chapitre IV

Cependant, Foucarmont s'attaquait aux liqueurs. Il continuait de ricaner en regardant Labordette, qui buvait son café, au milieu de ces dames. Et il lâchait des bouts de phrase : le fils d'un marchand de chevaux, d'autres disaient le bâtard d'une comtesse ; aucun revenu, et toujours vingt-cinq louis dans la poche ; le domestique des filles, un gaillard qui ne couchait jamais.

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