Nana

Nana (paragraphe n°384)

Chapitre II

Mais, comme elle prenait le bouquet, il lui sauta sur les mains, avec la gloutonnerie de son bel âge. Elle dut lebattre pour qu'il lâchât prise. En voilà un morveux qui allait raide ! Tout en le grondant, elle était devenue rose, elle souriait. Et elle le renvoya, en lui permettant de revenir. Il chancelait, il ne trouvait plus les portes.

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