Nana

Nana (paragraphe n°346)

Chapitre II

Ah ! madame, reprit le marquis, si vous saviez, quelle misère ! Notre arrondissement compte plus de trois mille pauvres, et encore est-il un des plus riches. Vous ne vous imaginez pas une pareille détresse : des enfants sans pain, des femmes malades, privées de tout secours, mourant de froid...

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