Nana

Nana (paragraphe n°232)

Chapitre II

Nana se moquait pas mal qu'on la plaisantât sur sa voix ! Il était gentil, ce Fauchery ; elle lui revaudrait sa bonne manière. Madame Lerat, après avoir relu l'article, déclara brusquement que les hommes avaient tous le diable dans les mollets ; et elle refusa de s'expliquer davantage, satisfaite de cette allusion égrillarde quelle était seule à comprendre. Mais Francis achevait de relever et de nouer les cheveux de Nana. Il salua, en disant :

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