Nana
Nana (paragraphe n°2246)
Chapitre XI
Et il resta, grognant, heureux pourtant de la revoir ; car, disait-il, cette sacrée Nana lui mettait du baume dans le cœur, rien qu'à vivre devant lui. C'était sa fille, son vrai sang.
Le site des archives d'Emile Zola
Nana
Nana (paragraphe n°2246)
Chapitre XI
Et il resta, grognant, heureux pourtant de la revoir ; car, disait-il, cette sacrée Nana lui mettait du baume dans le cœur, rien qu'à vivre devant lui. C'était sa fille, son vrai sang.