Nana

Nana (paragraphe n°1749)

Chapitre IX

Bordenave n'avait pas desserré les lèvres. Glissé complètement au fond de son fauteuil, il ne montrait plus, dans la lueur louche de la servante, que le haut de son chapeau, rabattu sur ses yeux, tandis que sa canne, abandonnée, lui barrait le ventre ; et l'on aurait pu croire qu'il dormait. Brusquement, il se redressa.

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