Nana
Nana (paragraphe n°1696)
Chapitre VIII
Mais madame Lerat voulut que Nana embrassât tout de suite Louiset, parce que, disait-elle, c'était son bonheur, à cet enfant, que la sagesse de sa mère. Louiset dormait encore, maladif, le sang pauvre. Et, lorsque Nana se pencha sur sa face blanche et scrofuleuse, tous ses embêtements des derniers mois la reprirent à la gorge et l'étranglèrent.