Nana
Nana (paragraphe n°1576)
Chapitre VIII
Mais madame Robert avait aperçu Satin. Elle lâcha Laure, accourut, se montra charmante, disant combien elle regrettait de ne s'être pas trouvée chez elle, la veille ; et comme Satin, séduite, voulait absolument lui faire un petite place, elle jurait qu'elle avait dîné. Elle était montée simplement pour voir. Tout en parlant, deboutderrière sa nouvelle amie, elle s'appuyait à ses épaules, souriante et câline, répétant :