Nana
Nana (paragraphe n°1505)
Chapitre VIII
Justement, madame Maloir entrait, avec un de ces chapeaux étranges, dont elle seule trouvait la forme. Ce fut une joie de se revoir. Madame Maloir expliqua que les grandeurs l'intimidaient ; maintenant, de temps à autre, elle reviendrait faire son bézigue. On visita un seconde fois le logement ; et, dans la cuisine, devant la femme de ménage qui arrosait le poulet, Nana parla d'économies, dit qu'une bonne aurait coûté trop cher et qu'elle-même voulait s'occuper de son chez-elle. Louiset regardait béatement la rôtissoire.