Nana
Nana (paragraphe n°1371)
Chapitre VII
Muffat s'était allongé dans le fauteuil, l'air assoupi, les membres las. Il dit oui, d'un signe. Nana le regardait, sérieuse, avec un sourd travail de tête. Assise sur une cuisse, dans le chiffonnage léger de ses dentelles, elletenait l'un de ses pieds nus entre ses deux mains ; et, machinalement, elle le tournait, le retournait.