Nana
Nana (paragraphe n°1195)
Chapitre VI
Mais il était fou ; jamais elle n'avait vu un homme dans un état pareil. La peur la prenait ; elle lui mit les doigts sur la bouche, pour étouffer les cris qu'il laissait échapper ; et, baissant la voix, elle le suppliait de se taire, de la lâcher. Steiner descendait. C'était stupide, à la fin ! Quand Steiner entra, il entendit Nana, mollement allongée au fond de son fauteuil, qui disait :