Nana
Nana (paragraphe n°1193)
Chapitre VI
Il la rattrapa, les dents serrées ; puis, comme elle se débattait, il fut grossier, il lui rappela crûment qu'il venait coucher. Elle, toujours souriante, embarrassée pourtant, lui tenait les mains. Elle le tutoya, afin d'adoucir son refus.