Nana
Nana (paragraphe n°1070)
Chapitre VI
A onze heures, lorsque le second coup de cloche pour le déjeuner eut réuni tout le monde, madame Hugon, avec son bon sourire maternel, posa deux gros baisers sur les joues de Sabine, en disant :
Le site des archives d'Emile Zola
Nana
Nana (paragraphe n°1070)
Chapitre VI
A onze heures, lorsque le second coup de cloche pour le déjeuner eut réuni tout le monde, madame Hugon, avec son bon sourire maternel, posa deux gros baisers sur les joues de Sabine, en disant :