Le Ventre de Paris

Le Ventre de Paris (paragraphe n°684)

Chapitre III

D'ailleurs, Florent n'avait aucun besoin. Les Quenu lui donnaient toujours la table et le coucher. Les quelques francs qui lui restaient suffisaient à payer sa consommation, le soir, chez monsieur Lebigre. Peu à peu, sa vie s'était réglée comme une horloge : il travaillait dans sa chambre ; continuait ses leçons au petit Muche, deux fois par semaine, de huit à neuf heures ; accordait une soirée à la belle Lisa, pour ne pas la fâcher ; et passait le reste de son temps dans le cabinet vitré, en compagnie de Gavard et de ses amis.

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