Le Rêve
Le Rêve (paragraphe n°926)
Chapitre XII
Il est déjà trop tard... Vous voyez bien que je ne peux pas vous suivre. Il y avait en moi, jadis, une passionnée et une orgueilleuse qui aurait jeté ses deux bras à votre cou, pour que vous l'emportiez. Mais on m'a changée, je ne me retrouve plus... Vous n'entendez donc pas que tout, dans cette chambre, me crie de rester ? Et ma joie est devenue d'obéir.