Le Rêve

Le Rêve (paragraphe n°732)

Chapitre X

Voyons, reprit Hubertine, tu as tant de courage, que je te parle sans ménagement... Ah ! si tu savais, mignonne, comme je te plains et comme je t'admire, depuis que je te sens si fière, si brave, à te taire et à être gaie, lorsque ton cœur éclate... Mais il t'en faut encore, du courage, beaucoup, beaucoup... J'ai rencontré cette après-midi l'abbé Cornille. Tout est fini, Monseigneur ne veut pas.

?>