Le Rêve
Le Rêve (paragraphe n°104)
Chapitre III
Et, avant de se pencher sur son travail, elle s'oubliait encore un instant, devant la fenêtre ouverte, par laquelle entrait la radieuse matinée de mai. Un coin de soleilglissait du comble de la cathédrale, une odeur fraîche de lilas montait du jardin de l'Evêché. Elle souriait, éblouie, baignée de printemps. Puis, dans un sursaut, comme si elle se fût rendormie :