Le Docteur Pascal
Le Docteur Pascal (paragraphe n°568)
Chapitre IV
Alors, je mourrais cette nuit, subitement, que se passerait-il donc demain ?... Tu viderais l'armoire, tu viderais les tiroirs, tu ferais un gros tas de toutes mes œuvres, et tu les brûlerais ? Oui, n'est-ce pas ?... Sais-tu que ce serait un véritable meurtre, comme si tuassassinais quelqu'un ? Et quelle lâcheté abominable, tuer la pensée !