La Terre
La Terre (paragraphe n°871)
Chapitre III
Il tendit la main, il secoua la sienne, qu'elle lui tendait. De toute sa personne, trempée de buée chaude, s'exhalait une odeur de bonne ménagère, une odeur de cendre parfumée d'iris.
Le site des archives d'Emile Zola
La Terre
La Terre (paragraphe n°871)
Chapitre III
Il tendit la main, il secoua la sienne, qu'elle lui tendait. De toute sa personne, trempée de buée chaude, s'exhalait une odeur de bonne ménagère, une odeur de cendre parfumée d'iris.