La Terre

La Terre (paragraphe n°170)

Chapitre II

Fouan, lui aussi, avait regardé ses enfants, l'un après l'autre, avec le sourd malaise de ce qu'ils feraient de sonbien. La paresse de l'ivrogne l'angoissait moins encore que la convoitise jouisseuse des deux autres. Il hocha sa tête tremblante : à quoi bon se manger le sang, puisqu'il le fallait !

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