La Joie de vivre
La Joie de vivre (paragraphe n°876)
Chapitre V
Je me réfugie à Arromanches, jusqu'à l'arrivée de mon père, si vous ne voulez plus de moi, continua-t-elle, sans paraître l'entendre, pour le taquiner. Ma tante Léonie a loué un chalet ; et il y a du monde là-bas, une plage où l'on peut se baigner au moins... Seulement, elle est si ennuyeuse, ma tante Léonie !