La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°585)

Chapitre III

En effet, un encrier et des plumes se trouvaient sur le guéridon. La chambre avait cet air lourd, ce silence mort des pièces dans lesquelles on pénètre rarement. Minouche seule y vivait des journées de paresse, quand elle pouvait s'y glisser le matin. Justement, elle dormait au fond de l'édredon, elle avait levé la tête, surprise de cet envahissement, regardant de ses yeux verts.

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