La Joie de vivre
La Joie de vivre (paragraphe n°500)
Chapitre III
Et elle continua. Pauline, qui avait d'abord tâché de se défendre, l'écoutait maintenant sans une parole, le cœur gros. Depuis quelque temps, sa tante l'aimait de moins en moins, elle le sentait bien. Lorsqu'elle se retrouva seule avec Véronique, elle pleura ; et la bonne se mit à bousculer ses casseroles, comme pour éviter de prendre parti. Elle grondait toujours contre la jeune fille ; mais il y avait à présent, dans sa rudesse, des réveils de justice.