La Joie de vivre
La Joie de vivre (paragraphe n°473)
Chapitre III
Peu à peu, il l'attirait, il jouait encore comme à l'époque de leur camaraderie d'écoliers ; et, brusquement, elle lui planta sur la joue un baiser retentissant, qu'il lui rendit au petit bonheur, dans une oreille. Puis, une pensée inavouée parut l'assombrir, il ajouta d'une voix triste :