La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°435)

Chapitre III

Légèrement, Pauline accourait, riant d'un rire trop gai, où l'on sentait un peu d'embarras. Depuis le retour de son cousin, ils ne s'étaient pas baignés ensemble. Elle avait un costume de grande nageuse, fait d'une seule pièce, serré à la taille par une ceinture et découvrant les hanches. Les reins souples, la gorge haute ; elleressemblait, amincie de la sorte, à un marbre florentin. Ses jambes et ses bras nus, ses petits pieds nus chaussés de sandales, gardaient une blancheur d'enfant.

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