La Joie de vivre
La Joie de vivre (paragraphe n°2218)
Chapitre XI
Ayez pitié, ma bonne demoiselle... Il n'y a plus que maman et moi à la maison, les gendarmes entrent tous les soirs pour nous battre, mon corps est une plaie, maman est en train de mourir... Oh ! ma bonne demoiselle, faudrait de l'argent, et du bouillon gras, et du bon vin...