La Joie de vivre
La Joie de vivre (paragraphe n°128)
Chapitre I
Alors, un silence régna. Dans le grondement de la tempête, on n'entendait que la plume de Lazare. C'était une grande paix, la somnolence des vieilles habitudes, la vie ruminée chaque soir à la même place. Longtemps, le père et la mère se regardèrent sans rien dire. Enfin, Chanteau demanda avec hésitation :