La Joie de vivre
La Joie de vivre (paragraphe n°1146)
Chapitre VI
Vous ne laissiez entrer personne, continuait la bonne, et Mademoiselle était encore plus triste à regarder que Madame, tellement elle souffrait. Moi, je redescendais toute bousculée, sans avoir seulement l'envie d'avaler gros comme ça de pain... Puis, aujourd'hui, voilà le cœur qui vous tourne, dès que vous voyez votre mère au lit ! Vous ne lui porteriez pas même des tasses de tisane... Votre mère est ce qu'elle est, mais elle est votre mère.