La Joie de vivre
La Joie de vivre (paragraphe n°108)
Chapitre I
Il avait saisi la terrine, il se servait d'une main tremblante. Souvent, de terribles combats se livraient ainsi entre sa terreur d'un accès et la violence de sa gourmandise ; et, presque toujours, la gourmandise était la plus forte. Tant pis ! c'était trop bon, il souffrirait !