La Fortune des Rougon
La Fortune des Rougon (paragraphe n°97)
Partie : Préface, chapitre I
Ah ! comme je t'embrasserai volontiers, quand tu reviendras ! Ce cri d'un cœur aimant et courageux toucha profondément Silvère. Il prit Miette entre ses bras et luimit plusieurs baisers sur les joues. L'enfant se défendit un peu en riant. Et elle avait les larmes d'émotion plein les yeux.